đź”´#CĂ´tedivoire / #ArchidiocesedAbidjan
L’Église élève une prière pour la paix en Côte d’Ivoire
Placée sous le signe de l’unité et de la réconciliation, la messe de la 29ᵉ Journée nationale de prière pour la paix a été célébrée ce 15 novembre 2025 à la paroisse Notre-Dame de la Tendresse de la Riviera Golf, dans l’archidiocèse d’Abidjan. Fidèles, prêtres, religieux , Imans , pasteurs et délégations institutionnelles se sont rassemblés autour de Marie, patronne de la Côte d’Ivoire, pour invoquer la paix dans un contexte toujours marqué par les tensions électorales.
Une célébration solennelle présidée par le cardinal Bessi
Le cardinal Ignace Dogbo Bessi, archevêque métropolitain d’Abidjan, a présidé la célébration eucharistique, concélébrée avec Mgr Bruno Essoh Yedoh, évêque de Bondoukou et président de la Commission épiscopale pour la pastorale sociale (Cepas-SDHI). La sous-commission Justice, Paix et Environnement de la Pastorale sociale a également pris part à cette célébration nationale.
L’Église exhorte les responsables politiques au dialogue
En lieu et place de l’homélie, le message officiel de la Conférence des évêques catholiques de Côte d’Ivoire (CECCI) a été proclamé. Mgr Yedoh a rappelé que cette journée est un temps de responsabilité citoyenne autant que spirituelle, sous la protection de Notre-Dame de la Paix, patronne du pays.
À la fin de la célébration, Mgr Yedoh a lancé un appel direct à la classe politique : « Pourquoi nos hommes politiques ne peuvent-ils pas s’asseoir et dialoguer ? La sagesse africaine nous enseigne de régler nos problèmes sous l’arbre à palabre », a-t-il insisté. Il a invité les leaders à privilégier la paix, rappelant les mots du premier président Félix Houphouët-Boigny : « La paix n’est pas un vain mot, mais un comportement. »
Mgr Yedoh a également encouragé les fidèles à l’espérance : « Que les cœurs s’unissent et que les genoux se fléchissent pour demander au Seigneur de répandre sa paix sur la Côte d’Ivoire. » . Il a salué la participation conjointe de catholiques et de musulmans, signe tangible d’un engagement commun pour la paix et la fraternité.
—- Henri Michel BilĂ©—
Catholikia
L’Église élève une prière pour la paix en Côte d’Ivoire
Placée sous le signe de l’unité et de la réconciliation, la messe de la 29ᵉ Journée nationale de prière pour la paix a été célébrée ce 15 novembre 2025 à la paroisse Notre-Dame de la Tendresse de la Riviera Golf, dans l’archidiocèse d’Abidjan. Fidèles, prêtres, religieux , Imans , pasteurs et délégations institutionnelles se sont rassemblés autour de Marie, patronne de la Côte d’Ivoire, pour invoquer la paix dans un contexte toujours marqué par les tensions électorales.
Une célébration solennelle présidée par le cardinal Bessi
Le cardinal Ignace Dogbo Bessi, archevêque métropolitain d’Abidjan, a présidé la célébration eucharistique, concélébrée avec Mgr Bruno Essoh Yedoh, évêque de Bondoukou et président de la Commission épiscopale pour la pastorale sociale (Cepas-SDHI). La sous-commission Justice, Paix et Environnement de la Pastorale sociale a également pris part à cette célébration nationale.
L’Église exhorte les responsables politiques au dialogue
En lieu et place de l’homélie, le message officiel de la Conférence des évêques catholiques de Côte d’Ivoire (CECCI) a été proclamé. Mgr Yedoh a rappelé que cette journée est un temps de responsabilité citoyenne autant que spirituelle, sous la protection de Notre-Dame de la Paix, patronne du pays.
À la fin de la célébration, Mgr Yedoh a lancé un appel direct à la classe politique : « Pourquoi nos hommes politiques ne peuvent-ils pas s’asseoir et dialoguer ? La sagesse africaine nous enseigne de régler nos problèmes sous l’arbre à palabre », a-t-il insisté. Il a invité les leaders à privilégier la paix, rappelant les mots du premier président Félix Houphouët-Boigny : « La paix n’est pas un vain mot, mais un comportement. »
Mgr Yedoh a également encouragé les fidèles à l’espérance : « Que les cœurs s’unissent et que les genoux se fléchissent pour demander au Seigneur de répandre sa paix sur la Côte d’Ivoire. » . Il a salué la participation conjointe de catholiques et de musulmans, signe tangible d’un engagement commun pour la paix et la fraternité.
—- Henri Michel BilĂ©—
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