✝️ *Méditation* ✝️
Dans cet Évangile, Jésus nous place devant une vérité qui dérange : la volonté de Dieu ne se mesure pas aux paroles, mais aux actes.
Deux fils, deux réponses, deux chemins. Le premier refuse, mais se repent et agit. Le second promet, mais n’accomplit rien. Et pourtant, c’est le premier qui fait la volonté du père.
Cette parabole révèle que Dieu regarde le cœur en mouvement, non les apparences religieuses. Dire « oui » à Dieu avec les lèvres ne suffit pas si la vie ne suit pas. À l’inverse, un refus initial, un passé marqué par l’erreur ou le péché, n’empêche pas une conversion authentique. La porte du Royaume reste ouverte à celui qui se repent et agit.
Jésus choque ses auditeurs en affirmant que les publicains et les prostituées devancent les chefs religieux. Non parce qu’ils sont meilleurs, mais parce qu’ils ont su accueillir la vérité, se laisser convertir et changer de vie. Les grands prêtres et les anciens, eux, sont restés prisonniers de leur certitude d’être justes. Leur drame n’est pas l’ignorance, mais le refus de la conversion.
Cet Évangile nous interroge personnellement :
• Ne disons-nous pas parfois « oui, Seigneur » dans la prière, sans laisser l’Évangile transformer nos choix concrets ?
• Ne jugeons-nous pas trop vite ceux qui reviennent de loin, alors que Dieu se réjouit de leur pas vers Lui ?
Le Royaume de Dieu appartient à ceux qui osent se relever, reconnaître leurs torts et marcher humblement sur le chemin de la justice. La vraie sainteté n’est pas l’absence de chute, mais la capacité de se convertir.
✝️ *Prière* ✝️
Seigneur, délivre-moi d’une foi de paroles sans actes.
Donne-moi un cœur humble, capable de me repentir et d’obéir chaque jour à ta volonté.
Apprends-moi à ne jamais désespérer de ta miséricorde, ni de celle des autres.
Amen.
Dans cet Évangile, Jésus nous place devant une vérité qui dérange : la volonté de Dieu ne se mesure pas aux paroles, mais aux actes.
Deux fils, deux réponses, deux chemins. Le premier refuse, mais se repent et agit. Le second promet, mais n’accomplit rien. Et pourtant, c’est le premier qui fait la volonté du père.
Cette parabole révèle que Dieu regarde le cœur en mouvement, non les apparences religieuses. Dire « oui » à Dieu avec les lèvres ne suffit pas si la vie ne suit pas. À l’inverse, un refus initial, un passé marqué par l’erreur ou le péché, n’empêche pas une conversion authentique. La porte du Royaume reste ouverte à celui qui se repent et agit.
Jésus choque ses auditeurs en affirmant que les publicains et les prostituées devancent les chefs religieux. Non parce qu’ils sont meilleurs, mais parce qu’ils ont su accueillir la vérité, se laisser convertir et changer de vie. Les grands prêtres et les anciens, eux, sont restés prisonniers de leur certitude d’être justes. Leur drame n’est pas l’ignorance, mais le refus de la conversion.
Cet Évangile nous interroge personnellement :
• Ne disons-nous pas parfois « oui, Seigneur » dans la prière, sans laisser l’Évangile transformer nos choix concrets ?
• Ne jugeons-nous pas trop vite ceux qui reviennent de loin, alors que Dieu se réjouit de leur pas vers Lui ?
Le Royaume de Dieu appartient à ceux qui osent se relever, reconnaître leurs torts et marcher humblement sur le chemin de la justice. La vraie sainteté n’est pas l’absence de chute, mais la capacité de se convertir.
✝️ *Prière* ✝️
Seigneur, délivre-moi d’une foi de paroles sans actes.
Donne-moi un cœur humble, capable de me repentir et d’obéir chaque jour à ta volonté.
Apprends-moi à ne jamais désespérer de ta miséricorde, ni de celle des autres.
Amen.
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