Tribune
POURQUOI LES ÉGLISES QUI QUITTENT L’ÉGLISE CATHOLIQUE CONTINUENT-ELLES À SE DIVISER ?
Avez-vous remarqué cela ?
Chaque fois qu’un groupe se sépare de l’Église catholique, il ne lui faut que peu de temps pour se diviser à nouveau, et le cycle ne s’arrête jamais.
Pourquoi ? Parce que l’Église catholique n’est pas une œuvre de l’homme.
C’est la seule Église que le Christ lui-même a bâtie :
« Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église, et les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle. » (Matthieu 16, 18)
TOUT A COMMENCÉ AVEC SOLA SCRIPTURA, ET LA DIVISION N’A JAMAIS CESSÉ
L’idée que « la Bible seule » constitue l’autorité suprême (sola scriptura) semble séduisante au premier abord.
Mais que se passe-t-il lorsqu’il n’existe aucune autorité suprême pour l’interpréter ?
Un verset.
Mille interprétations.
Une Bible, plus de 40 000 confessions.
Sans le pape, sans les conciles, sans l’autorité que le Christ a donnée à ses apôtres, chacun devient son propre pape.
Un pasteur affirme que le baptême sauve.
Un autre affirme que ce n’est que symbolique.
Un autre encore dit : « Ne baptisez pas du tout. »
Tous affirment : « La Bible me soutient. »
En cas de désaccord, ils ne règlent pas le problème.
Ils se divisent.
UNE HISTOIRE DE DIVISION
Le mouvement protestant a débuté avec Martin Luther (1517), qui a rejeté certains enseignements de l’Église catholique et a fondé l’Église luthérienne.
Huldrych Zwingli (1484-1531), réformateur suisse, était en désaccord avec Luther, notamment sur l’Eucharistie, et a fondé son propre mouvement, qui a ensuite influencé les Églises réformées.
Jean Calvin (1509-1564) s’est à nouveau séparé des idées de Zwingli pour former le calvinisme, mettant l’accent sur la prédestination et la théologie de la « foi seule ».
Henri VIII d’Angleterre, pour des raisons personnelles (principalement l’annulation de son mariage), se sépara de l’Église catholique et fonda l’Église anglicane (Église d’Angleterre).
John Knox (1513-1572) se détacha de l’influence anglicane et fonda l’Église presbytérienne en Écosse.
Les anabaptistes se séparèrent de Zwingli, rejetant le baptême des enfants et lançant des mouvements radicaux ; de ces groupes naquirent des communautés comme les mennonites et les amish.
John Smyth (1609), mécontent de l’Église d’Angleterre, fonda l’Église baptiste.
John Wesley (1703-1791) rompit avec l’anglicanisme et fonda l’Église méthodiste.
William Miller (1782-1849), issu des baptistes, fonda le mouvement millérite, qui mena aux Églises adventistes.
Ellen G. White (1827-1915) devint la principale fondatrice de l’Église adventiste du septième jour.
Charles Taze Russell (1852–1916), autrefois adventiste, quitta l’Église et fonda les Témoins de Jéhovah.
Joseph Smith (1805–1844), insatisfait du méthodisme, fonda l’Église mormone (Saints des Derniers Jours).
Le pentecôtisme apparut au début des années 1900, avec des dirigeants comme Charles Parham et William Seymour, donnant naissance à une vague de nouvelles confessions « animées par l’Esprit ».
Du pentecôtisme naquirent des milliers de groupes dissidents : mouvements de l’Évangile de la prospérité, ministères de « guérison », Églises de délivrance, Églises des « prophéties de la fin des temps », et d’innombrables sectes « indépendantes », chacune prétendant détenir la « véritable » interprétation des Écritures.
Aujourd’hui, il existe plus de 45 000 confessions chrétiennes, toutes prétendant avoir raison, mais se contredisant toutes.
Mais Jésus n’a pas prié pour la confusion.
Il a prié pour l’unité :
« Afin que tous soient un, Père, comme toi et moi sommes un… » (Jean 17, 21).
La vérité ne peut contredire la vérité.
Et la vérité ne se multiplie pas en divisions sans fin.
L’ÉGLISE AVANT LA BIBLE
Voici une réalité que beaucoup oublient :
Avant l’existence de la Bible, l’Église existait déjà.
Pendant près de 400 ans, il n’y a pas eu de canon biblique officiel.
C’est l’Église catholique qui a donné la Bible au monde.
La vérité n’est pas qu’un livre.
La vérité est une Personne, Jésus-Christ (Jean 14, 6).
Et ce même Christ est la Tête de son Corps, l’Église (Colossiens 1, 18), l’Église une, sainte, catholique et apostolique, restée indivise depuis plus de 2 000 ans.
LE POUVOIR DE L’UNITÉ
La division n’est pas la liberté.
La division est la confusion.
Mais l’Église catholique, malgré la faiblesse humaine, le péché et le scandale, est restée unie dans la foi, dans les sacrements et dans l’enseignement depuis deux millénaires.
Pourquoi ?
Parce qu’elle ne s’appuie pas sur l’opinion humaine, mais sur le Christ lui-même, qui a promis que les portes de l’enfer ne prévaudraient jamais contre elle (Matthieu 16, 18).
Alors,
Si le Christ a bâti une seule Église, pourquoi se contenter de milliers de versions humaines ?
Retournons à l’Église que le Christ a fondée.
L’Église qui nous a donné la Bible.
L’Église qui a gardé la vérité, inchangée, pendant 2 000 ans.
La vérité ne change pas.
La vérité ne divise pas.
La vérité, c’est le Christ et son Corps, l’Église catholique.
Cliquez Ekwu Charles Odinaka
POURQUOI LES ÉGLISES QUI QUITTENT L’ÉGLISE CATHOLIQUE CONTINUENT-ELLES À SE DIVISER ?
Avez-vous remarqué cela ?
Chaque fois qu’un groupe se sépare de l’Église catholique, il ne lui faut que peu de temps pour se diviser à nouveau, et le cycle ne s’arrête jamais.
Pourquoi ? Parce que l’Église catholique n’est pas une œuvre de l’homme.
C’est la seule Église que le Christ lui-même a bâtie :
« Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église, et les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle. » (Matthieu 16, 18)
TOUT A COMMENCÉ AVEC SOLA SCRIPTURA, ET LA DIVISION N’A JAMAIS CESSÉ
L’idée que « la Bible seule » constitue l’autorité suprême (sola scriptura) semble séduisante au premier abord.
Mais que se passe-t-il lorsqu’il n’existe aucune autorité suprême pour l’interpréter ?
Un verset.
Mille interprétations.
Une Bible, plus de 40 000 confessions.
Sans le pape, sans les conciles, sans l’autorité que le Christ a donnée à ses apôtres, chacun devient son propre pape.
Un pasteur affirme que le baptême sauve.
Un autre affirme que ce n’est que symbolique.
Un autre encore dit : « Ne baptisez pas du tout. »
Tous affirment : « La Bible me soutient. »
En cas de désaccord, ils ne règlent pas le problème.
Ils se divisent.
UNE HISTOIRE DE DIVISION
Le mouvement protestant a débuté avec Martin Luther (1517), qui a rejeté certains enseignements de l’Église catholique et a fondé l’Église luthérienne.
Huldrych Zwingli (1484-1531), réformateur suisse, était en désaccord avec Luther, notamment sur l’Eucharistie, et a fondé son propre mouvement, qui a ensuite influencé les Églises réformées.
Jean Calvin (1509-1564) s’est à nouveau séparé des idées de Zwingli pour former le calvinisme, mettant l’accent sur la prédestination et la théologie de la « foi seule ».
Henri VIII d’Angleterre, pour des raisons personnelles (principalement l’annulation de son mariage), se sépara de l’Église catholique et fonda l’Église anglicane (Église d’Angleterre).
John Knox (1513-1572) se détacha de l’influence anglicane et fonda l’Église presbytérienne en Écosse.
Les anabaptistes se séparèrent de Zwingli, rejetant le baptême des enfants et lançant des mouvements radicaux ; de ces groupes naquirent des communautés comme les mennonites et les amish.
John Smyth (1609), mécontent de l’Église d’Angleterre, fonda l’Église baptiste.
John Wesley (1703-1791) rompit avec l’anglicanisme et fonda l’Église méthodiste.
William Miller (1782-1849), issu des baptistes, fonda le mouvement millérite, qui mena aux Églises adventistes.
Ellen G. White (1827-1915) devint la principale fondatrice de l’Église adventiste du septième jour.
Charles Taze Russell (1852–1916), autrefois adventiste, quitta l’Église et fonda les Témoins de Jéhovah.
Joseph Smith (1805–1844), insatisfait du méthodisme, fonda l’Église mormone (Saints des Derniers Jours).
Le pentecôtisme apparut au début des années 1900, avec des dirigeants comme Charles Parham et William Seymour, donnant naissance à une vague de nouvelles confessions « animées par l’Esprit ».
Du pentecôtisme naquirent des milliers de groupes dissidents : mouvements de l’Évangile de la prospérité, ministères de « guérison », Églises de délivrance, Églises des « prophéties de la fin des temps », et d’innombrables sectes « indépendantes », chacune prétendant détenir la « véritable » interprétation des Écritures.
Aujourd’hui, il existe plus de 45 000 confessions chrétiennes, toutes prétendant avoir raison, mais se contredisant toutes.
Mais Jésus n’a pas prié pour la confusion.
Il a prié pour l’unité :
« Afin que tous soient un, Père, comme toi et moi sommes un… » (Jean 17, 21).
La vérité ne peut contredire la vérité.
Et la vérité ne se multiplie pas en divisions sans fin.
L’ÉGLISE AVANT LA BIBLE
Voici une réalité que beaucoup oublient :
Avant l’existence de la Bible, l’Église existait déjà.
Pendant près de 400 ans, il n’y a pas eu de canon biblique officiel.
C’est l’Église catholique qui a donné la Bible au monde.
La vérité n’est pas qu’un livre.
La vérité est une Personne, Jésus-Christ (Jean 14, 6).
Et ce même Christ est la Tête de son Corps, l’Église (Colossiens 1, 18), l’Église une, sainte, catholique et apostolique, restée indivise depuis plus de 2 000 ans.
LE POUVOIR DE L’UNITÉ
La division n’est pas la liberté.
La division est la confusion.
Mais l’Église catholique, malgré la faiblesse humaine, le péché et le scandale, est restée unie dans la foi, dans les sacrements et dans l’enseignement depuis deux millénaires.
Pourquoi ?
Parce qu’elle ne s’appuie pas sur l’opinion humaine, mais sur le Christ lui-même, qui a promis que les portes de l’enfer ne prévaudraient jamais contre elle (Matthieu 16, 18).
Alors,
Si le Christ a bâti une seule Église, pourquoi se contenter de milliers de versions humaines ?
Retournons à l’Église que le Christ a fondée.
L’Église qui nous a donné la Bible.
L’Église qui a gardé la vérité, inchangée, pendant 2 000 ans.
La vérité ne change pas.
La vérité ne divise pas.
La vérité, c’est le Christ et son Corps, l’Église catholique.
Cliquez Ekwu Charles Odinaka
En savoir plus sur DezPray
Subscribe to get the latest posts sent to your email.