Tribune
Les séminaristes et les filles :
une relation à vivre dans la vérité et la pureté
Le séminariste est un jeune homme appelé par Dieu à une vocation particulière : servir l’Église comme prêtre. Mais avant d’être un futur prêtre, il est avant tout un homme, avec un cœur, des émotions, des désirs et des faiblesses. C’est pourquoi il est normal qu’il ressente de la sympathie, de l’amitié, voire de l’attirance pour certaines jeunes filles. Cela ne doit pas l’effrayer, mais l’inviter à vivre ces relations avec sagesse, équilibre et foi.
Une amitié sincère et respectueuse entre un séminariste et une fille peut être un vrai don de Dieu.
Dans un monde où la superficialité domine souvent les relations, une amitié basée sur la foi, le respect et le dialogue spirituel peut aider le séminariste à grandir humainement et spirituellement.
Une fille qui vit sa foi peut encourager le séminariste à rester fidèle à sa vocation, à prier davantage et à aimer l’Église avec un cœur pur.
Cependant, cette amitié doit toujours rester claire : ni ambiguïté, ni intimité excessive, ni familiarité déplacée.
Le séminariste doit se rappeler qu’il se prépare à un amour universel. Son cœur appartient déjà à Dieu et à son peuple.
S’il commence à nourrir des sentiments amoureux pour une fille, il doit avoir la sagesse d’en parler à son directeur spirituel. Ce n’est pas un péché d’aimer, mais c’est un risque s’il ne sait pas orienter cet amour.
C’est pourquoi le séminaire n’est pas seulement un lieu d’études, mais aussi un lieu de discernement. Certains séminaristes découvrent, avec le temps, qu’ils sont appelés non pas au sacerdoce, mais au mariage. D’autres, au contraire, apprennent à maîtriser leur affectivité et à la sublimer dans leur relation à Dieu.
Les filles ont une grande responsabilité lorsqu’elles fréquentent des séminaristes.
Elles doivent comprendre que le séminariste n’est pas un « homme à conquérir », mais un « frère en chemin ».
Flatter, séduire ou chercher à le détourner de sa vocation, même inconsciemment, c’est lui faire du tort.
Une fille chrétienne mûre saura être une sœur, une confidente, une aide spirituelle, sans franchir les frontières du respect.
Elle aussi doit apprendre à aimer dans la pureté, à respecter le choix de Dieu sur la vie des autres.
Beaucoup de vocations ont été détruites non par la méchanceté, mais par la naïveté.
Des échanges trop fréquents, des messages privés à toute heure, des confidences personnelles, des gestes d’affection mal interprétés peuvent semer la confusion.
Le cœur humain est fragile : il s’attache vite, surtout quand il se sent compris et soutenu.
C’est pourquoi la prudence est une vertu indispensable.
Un séminariste doit savoir poser des limites, et une fille doit savoir les respecter.
Le véritable amour n’est pas possession, mais don.
Le séminariste apprend à aimer comme le Christ : d’un amour pur, désintéressé et universel.
C’est en aimant ainsi qu’il deviendra un prêtre capable d’écouter, de consoler, de guider sans tomber dans les pièges de l’affectivité mal maîtrisée.
Et les filles, en apprenant elles aussi à aimer sans égoïsme, participent à cette œuvre de sanctification.
La relation entre un séminariste et une fille peut être belle si elle est vécue dans la lumière.
Elle doit être marquée par le respect, la vérité et la pureté.
Le séminariste ne doit pas fuir les filles, mais apprendre à les voir comme des sœurs, des collaboratrices dans la mission de Dieu.
Et les filles doivent voir dans les séminaristes des jeunes appelés à un grand don de soi, qu’il faut accompagner par la prière et la pudeur.
Prions pour nos séminaristes, afin qu’ils soient forts dans leurs engagements, fidèles à leur vocation et toujours guidés par l’amour du Christ.
Et prions aussi pour nos jeunes filles, qu’elles soient des témoins de pureté, de respect et de foi dans un monde qui en a tant besoin.
Ekwu Charles Odinaka
Les séminaristes et les filles :
une relation à vivre dans la vérité et la pureté
Le séminariste est un jeune homme appelé par Dieu à une vocation particulière : servir l’Église comme prêtre. Mais avant d’être un futur prêtre, il est avant tout un homme, avec un cœur, des émotions, des désirs et des faiblesses. C’est pourquoi il est normal qu’il ressente de la sympathie, de l’amitié, voire de l’attirance pour certaines jeunes filles. Cela ne doit pas l’effrayer, mais l’inviter à vivre ces relations avec sagesse, équilibre et foi.
Une amitié sincère et respectueuse entre un séminariste et une fille peut être un vrai don de Dieu.
Dans un monde où la superficialité domine souvent les relations, une amitié basée sur la foi, le respect et le dialogue spirituel peut aider le séminariste à grandir humainement et spirituellement.
Une fille qui vit sa foi peut encourager le séminariste à rester fidèle à sa vocation, à prier davantage et à aimer l’Église avec un cœur pur.
Cependant, cette amitié doit toujours rester claire : ni ambiguïté, ni intimité excessive, ni familiarité déplacée.
Le séminariste doit se rappeler qu’il se prépare à un amour universel. Son cœur appartient déjà à Dieu et à son peuple.
S’il commence à nourrir des sentiments amoureux pour une fille, il doit avoir la sagesse d’en parler à son directeur spirituel. Ce n’est pas un péché d’aimer, mais c’est un risque s’il ne sait pas orienter cet amour.
C’est pourquoi le séminaire n’est pas seulement un lieu d’études, mais aussi un lieu de discernement. Certains séminaristes découvrent, avec le temps, qu’ils sont appelés non pas au sacerdoce, mais au mariage. D’autres, au contraire, apprennent à maîtriser leur affectivité et à la sublimer dans leur relation à Dieu.
Les filles ont une grande responsabilité lorsqu’elles fréquentent des séminaristes.
Elles doivent comprendre que le séminariste n’est pas un « homme à conquérir », mais un « frère en chemin ».
Flatter, séduire ou chercher à le détourner de sa vocation, même inconsciemment, c’est lui faire du tort.
Une fille chrétienne mûre saura être une sœur, une confidente, une aide spirituelle, sans franchir les frontières du respect.
Elle aussi doit apprendre à aimer dans la pureté, à respecter le choix de Dieu sur la vie des autres.
Beaucoup de vocations ont été détruites non par la méchanceté, mais par la naïveté.
Des échanges trop fréquents, des messages privés à toute heure, des confidences personnelles, des gestes d’affection mal interprétés peuvent semer la confusion.
Le cœur humain est fragile : il s’attache vite, surtout quand il se sent compris et soutenu.
C’est pourquoi la prudence est une vertu indispensable.
Un séminariste doit savoir poser des limites, et une fille doit savoir les respecter.
Le véritable amour n’est pas possession, mais don.
Le séminariste apprend à aimer comme le Christ : d’un amour pur, désintéressé et universel.
C’est en aimant ainsi qu’il deviendra un prêtre capable d’écouter, de consoler, de guider sans tomber dans les pièges de l’affectivité mal maîtrisée.
Et les filles, en apprenant elles aussi à aimer sans égoïsme, participent à cette œuvre de sanctification.
La relation entre un séminariste et une fille peut être belle si elle est vécue dans la lumière.
Elle doit être marquée par le respect, la vérité et la pureté.
Le séminariste ne doit pas fuir les filles, mais apprendre à les voir comme des sœurs, des collaboratrices dans la mission de Dieu.
Et les filles doivent voir dans les séminaristes des jeunes appelés à un grand don de soi, qu’il faut accompagner par la prière et la pudeur.
Prions pour nos séminaristes, afin qu’ils soient forts dans leurs engagements, fidèles à leur vocation et toujours guidés par l’amour du Christ.
Et prions aussi pour nos jeunes filles, qu’elles soient des témoins de pureté, de respect et de foi dans un monde qui en a tant besoin.
Ekwu Charles Odinaka
En savoir plus sur DezPray
Subscribe to get the latest posts sent to your email.
