#OnEnParle #padrepiodepietrelcina À la découverte des 15 révélations inédites sur le saint des stigmates L’Église cath

#OnEnParle #padrepiodepietrelcina
À la découverte des 15 révélations inédites
sur le saint des stigmates
L’Église catholique honore chaque 23 septembre la mémoire de Padre Pio, capucin italien célèbre pour ses stigmates, sa vie de prière et son ministère de confesseur. #Catholikia vous propose 15 faits étonnants et peu connus sur sa vie et son héritage.
📍Une enfance mystique
Dès l’âge de cinq ans, Francesco Forgione affirme voir son ange gardien, Jésus et la Vierge Marie. Ces expériences spirituelles, vécues avec naturel, marquent toute son enfance.
📍Des origines modestes
Issu d’une famille paysanne pauvre et illettrée de Pietrelcina, en Campanie, il exprime très tôt le désir de devenir prêtre. Sa vocation surprend dans ce contexte rural.
📍Un prêtre fragile de santé
Atteint de tuberculose et d’autres maladies, il est jugé inapte au service militaire. Cette santé fragile contraste avec la vigueur de son engagement spirituel.
📍Le choix capucin
En 1903, il entre chez les capucins, prend le nom de Pio, prononce ses vœux en 1909 et est ordonné prêtre en 1910. Sa vie sera désormais toute donnée à Dieu.
📍Les stigmates de 1918
Le 20 septembre 1918, en prière devant un crucifix, il reçoit les plaies du Christ. Ces stigmates restent ouverts et sanglants pendant cinquante ans, avant de disparaître mystérieusement à sa mort.
📍Un confesseur infatigable
Padre Pio consacre parfois plus de seize heures par jour au confessionnal. Les fidèles affluent de toute l’Italie, puis du monde entier, pour recevoir son écoute et son absolution.
📍Des phénomènes mystérieux
Des récits évoquent sa présence simultanée en deux lieux différents, un phénomène appelé bilocation. L’Église ne s’est jamais prononcée officiellement, mais de nombreux témoignages subsistent.
📍Une piété mariale intense
Son attachement au rosaire est sans limite : il en récite parfois jusqu’à trente par jour. « Le rosaire est l’arme contre les maux du monde », répétait-il.
📍Surveillé par le Vatican
Ses stigmates et les phénomènes mystiques intriguent. Dans les années 1920-1930, le Saint-Siège limite son ministère, lui interdisant parfois de célébrer en public. Ces sanctions sont ensuite levées.
📍Un bâtisseur d’hôpital
En 1956, il inaugure la Maison du soulagement de la souffrance à San Giovanni Rotondo. Cet hôpital moderne, destiné aux pauvres et aux malades, reste une œuvre phare de son héritage.
📍Les groupes de prière
Sous son impulsion naissent des « Groupes de prière », destinés à unir les fidèles dans une vie spirituelle communautaire. Ces groupes existent encore aujourd’hui à travers le monde.
📍Une odeur de sainteté
De nombreux fidèles affirment que ses stigmates dégageaient un parfum floral, un phénomène interprété comme un signe de sainteté.
📍Une prophétie pour Jean-Paul II
En 1947, un jeune prêtre polonais, Karol Wojtyła, vient se confesser à Padre Pio. Le capucin lui aurait confié une mission exceptionnelle, qui s’accomplira lorsqu’il deviendra pape en 1978.
📍Des reliques vénérées
Lors de l’exhumation de son corps en 2008, ses restes sont retrouvés en bon état de conservation. Cette découverte renforce l’élan des pèlerinages vers son sanctuaire.
📍Une mort en prière
Le 23 septembre 1968, après avoir célébré une dernière messe en mémoire de ses stigmates, il s’éteint paisiblement en murmurant « Jésus, Marie ».
📍Héritage vivant
Aujourd’hui, San Giovanni Rotondo est l’un des sanctuaires les plus visités d’Europe. Des millions de pèlerins viennent chaque année prier celui que Jean-Paul II a qualifié de « fils humble de saint François, qui a offert sa vie dans la prière et la souffrance ».
— Henri Michel Bilé —
Catholikia