#OnEnParle #cotedivoire #tensionspolitiques
Un prêtre appelle à la décrispation
Ce week-end des 25 et 26 octobre 2025 sent la poudre, la passion… et la sueur. À Abidjan, les urnes s’apprêtent à chauffer ; à Madrid, les crampons vont grincer. La Côte d’Ivoire et l’Espagne, deux nations, deux terrains mais une même fièvre : celle du derbi suprême, politique d’un côté, footballistique de l’autre.
Le 25, le peuple ivoirien s’avance vers les urnes.
Le 26, le monde entier tourne les yeux vers le Santiago Bernabéu, où le Real Madrid affrontera le Barça. Et dans les deux cas, la tension est à son comble :
• Les uns parlent de victoire dès le premier tour,
• Les autres promettent une remontada historique. Dans les tribunes comme dans les quartiers, chaque camp prépare ses chants, ses slogans, ses drapeaux. Un arbitre contesté, un penalty imaginaire, une faute non sifflée : tout peut basculer. Sur les pelouses comme dans les urnes, on redoute la main invisible, le coup de sifflet biaisé. Mais si le football déchaîne les passions, la politique, elle, forge les nations. Et dans cette double arène Madrid et Abidjan un seul mot d’ordre devrait triompher : le fair-play. Mbappé face à Yamal, Ouattara face à l’Opposition : même intensité, même ferveur, même peur de la défaite. Mais au bout du compte, l’important n’est pas seulement de gagner, c’est de jouer ensemble, sans casser le terrain commun. Ce week-end, Abidjan et Madrid partagent le même stade, celui de la passion humaine. Que les cris restent dans les gradins, les débats dans les urnes, et que la victoire finale soit celle de la paix.
▪️Père Franck Stéphane Yapi
Prêtre du diocèse d’Agboville
Un prêtre appelle à la décrispation
Ce week-end des 25 et 26 octobre 2025 sent la poudre, la passion… et la sueur. À Abidjan, les urnes s’apprêtent à chauffer ; à Madrid, les crampons vont grincer. La Côte d’Ivoire et l’Espagne, deux nations, deux terrains mais une même fièvre : celle du derbi suprême, politique d’un côté, footballistique de l’autre.
Le 25, le peuple ivoirien s’avance vers les urnes.
Le 26, le monde entier tourne les yeux vers le Santiago Bernabéu, où le Real Madrid affrontera le Barça. Et dans les deux cas, la tension est à son comble :
• Les uns parlent de victoire dès le premier tour,
• Les autres promettent une remontada historique. Dans les tribunes comme dans les quartiers, chaque camp prépare ses chants, ses slogans, ses drapeaux. Un arbitre contesté, un penalty imaginaire, une faute non sifflée : tout peut basculer. Sur les pelouses comme dans les urnes, on redoute la main invisible, le coup de sifflet biaisé. Mais si le football déchaîne les passions, la politique, elle, forge les nations. Et dans cette double arène Madrid et Abidjan un seul mot d’ordre devrait triompher : le fair-play. Mbappé face à Yamal, Ouattara face à l’Opposition : même intensité, même ferveur, même peur de la défaite. Mais au bout du compte, l’important n’est pas seulement de gagner, c’est de jouer ensemble, sans casser le terrain commun. Ce week-end, Abidjan et Madrid partagent le même stade, celui de la passion humaine. Que les cris restent dans les gradins, les débats dans les urnes, et que la victoire finale soit celle de la paix.
▪️Père Franck Stéphane Yapi
Prêtre du diocèse d’Agboville
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