Mercredi 13 Août 25
Homélie du jour
«Si ton frère a commis un péché, va lui parler seul à seul et montre-lui sa faute (…).Quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là, au milieu d’eux»
Aujourd’hui, dans ce bref passage de l’Évangile, le Seigneur nous enseigne trois importantes manières d’agir, souvent méconnues.
Compréhension et avertissement de l’ami ou du collègue. Lui faire voir, dans l’intimité («seul à seul»), avec clarté («montre-lui sa faute»), son erreur pour qu’il rectifie le cours de sa vie. Si cette démarche n’a pas abouti, demander l’aide d’un ami. Et si, même ainsi, l’on n’obtient pas sa conversion et que son péché est source de scandale, ne pas hésiter à le dénoncer publiquement : lettre au directeur d’un journal, manifestation, écriteau. Cette façon d’agir prend, pour qui l’exerce, la forme d’un devoir ; elle est souvent coûteuse et difficile. Il est plus facile de choisir ce que nous appelons faussement la “charité chrétienne”, qui n’est au fond que pure échappatoire, commodité, lâcheté, fausse tolérance. «La même peine est réservée à ceux qui font le mal et à ceux qui y consentent» (saint Bernard).
Tout chrétien a le droit de solliciter des prêtres le pardon de Dieu et de son Église. Un psychologue peut parfois apaiser son âme et un psychiatre, par un acte médical, parvenir à vaincre un trouble endogène. Ces deux choses sont très utiles, mais elles sont parfois insuffisantes. Dieu seul est capable de pardonner, d’effacer, d’oublier, d’anéantir le péché personnel en le pulvérisant. Seule son Église lie et délie sur la terre comme au Ciel, pour permettre à chacun de jouir de la paix intérieure et de commencer à être heureux.
Dans les mains et les paroles du prêtre se trouve le privilège de prendre le pain, de rendre Jésus-Eucharistie réellement présent et d’en faire notre nourriture. Tout disciple du Royaume peut s’unir à un autre, mieux encore à beaucoup d’autres, pour avec ferveur, Foi, courage et Espérance, se submerger dans ce monde et le convertir en véritable corps du Jésus-Mystique. Et, en sa compagnie, accourir à Dieu le Père, qui écoutera nos suppliques car son Fils s’y est engagé: «Quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là, au milieu d’eux» (Mt 18,20).
Homélie du jour
«Si ton frère a commis un péché, va lui parler seul à seul et montre-lui sa faute (…).Quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là, au milieu d’eux»
Aujourd’hui, dans ce bref passage de l’Évangile, le Seigneur nous enseigne trois importantes manières d’agir, souvent méconnues.
Compréhension et avertissement de l’ami ou du collègue. Lui faire voir, dans l’intimité («seul à seul»), avec clarté («montre-lui sa faute»), son erreur pour qu’il rectifie le cours de sa vie. Si cette démarche n’a pas abouti, demander l’aide d’un ami. Et si, même ainsi, l’on n’obtient pas sa conversion et que son péché est source de scandale, ne pas hésiter à le dénoncer publiquement : lettre au directeur d’un journal, manifestation, écriteau. Cette façon d’agir prend, pour qui l’exerce, la forme d’un devoir ; elle est souvent coûteuse et difficile. Il est plus facile de choisir ce que nous appelons faussement la “charité chrétienne”, qui n’est au fond que pure échappatoire, commodité, lâcheté, fausse tolérance. «La même peine est réservée à ceux qui font le mal et à ceux qui y consentent» (saint Bernard).
Tout chrétien a le droit de solliciter des prêtres le pardon de Dieu et de son Église. Un psychologue peut parfois apaiser son âme et un psychiatre, par un acte médical, parvenir à vaincre un trouble endogène. Ces deux choses sont très utiles, mais elles sont parfois insuffisantes. Dieu seul est capable de pardonner, d’effacer, d’oublier, d’anéantir le péché personnel en le pulvérisant. Seule son Église lie et délie sur la terre comme au Ciel, pour permettre à chacun de jouir de la paix intérieure et de commencer à être heureux.
Dans les mains et les paroles du prêtre se trouve le privilège de prendre le pain, de rendre Jésus-Eucharistie réellement présent et d’en faire notre nourriture. Tout disciple du Royaume peut s’unir à un autre, mieux encore à beaucoup d’autres, pour avec ferveur, Foi, courage et Espérance, se submerger dans ce monde et le convertir en véritable corps du Jésus-Mystique. Et, en sa compagnie, accourir à Dieu le Père, qui écoutera nos suppliques car son Fils s’y est engagé: «Quand deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là, au milieu d’eux» (Mt 18,20).
En savoir plus sur DezPray
Subscribe to get the latest posts sent to your email.
