Dans son intervention aux Nations unies, l’Observateur permanent du Saint-Siège auprès de l’ONU a souligné que le fardeau de la dette écologique affligeait les pays africains les moins développés, les plus enclavés et ceux à revenus moyens. Le Vatican réaffirme la nécessité d’une réforme de l’architecture de la dette mondiale qui «tienne compte de la vulnérabilité des petits États insulaires en développement (PEID), promeuve la justice environnementale et place la dignité humaine au centre».
En savoir plus sur DezPray
Subscribe to get the latest posts sent to your email.
