Façon de voir
1ere Lecture
Romains 7, 18-25a
Chers frères et sœurs en Christ,
Aujourd’hui, nous nous penchons sur un passage profond de l’apôtre Paul dans sa lettre aux Romains : « Qui donc me délivrera de ce corps qui m’entraîne à la mort ? » (Rm 7, 24). Ces mots résonnent avec une intensité particulière dans nos vies modernes, où nous sommes souvent confrontés à nos luttes intérieures et à nos faiblesses humaines.
La Lutte Intérieure
Paul exprime ici une réalité que nous connaissons tous : la lutte entre notre désir de faire le bien et notre inclination au péché. Il dit : « Je ne fais pas le bien que je veux, mais je fais le mal que je ne veux pas » (Rm 7, 19). Cette dichotomie est universelle. Nous aspirons à vivre selon la volonté de Dieu, mais nous sommes souvent entraînés par nos passions, nos doutes et nos faiblesses.
La Nature du Corps
Le corps, dans ce contexte, représente non seulement notre humanité physique, mais aussi nos inclinations pécheresses. Paul nous rappelle que nous ne sommes pas seuls dans cette bataille. Chaque chrétien ressent cette tension entre l’esprit et la chair. Cette lutte est une partie intégrante de notre cheminement de foi.
L’Importance de la Grâce
Cependant, Paul ne s’arrête pas à la lamentation. Il nous offre une réponse pleine d’espoir : « Grâce à Dieu par Jésus-Christ notre Seigneur ! » (Rm 7, 25). C’est là que réside notre délivrance. Jésus, par son sacrifice, nous offre la grâce nécessaire pour surmonter nos luttes. Il nous appelle à nous tourner vers lui, à confier nos faiblesses et nos combats à sa miséricorde.
Un Appel à la Transformation
Cette homélie nous invite à réfléchir sur notre propre vie. Quels sont les « corps » qui nous entraînent à la mort ? Quelles sont les habitudes, les pensées ou les relations qui nous éloignent de Dieu ? En prenant conscience de ces réalités, nous pouvons commencer à chercher la transformation que seule la grâce de Dieu peut apporter.
Conclusion
Frères et sœurs, ne perdons pas espoir dans notre lutte. Comme Paul, nous pouvons crier notre désespoir, mais nous pouvons aussi proclamer notre confiance en Jésus-Christ, qui nous délivre. Approchons-nous de lui avec foi, sachant qu’il est notre force et notre salut. Que cette semaine soit une opportunité de renouveler notre engagement à vivre selon l’Esprit, en nous appuyant sur la grâce de Dieu pour surmonter nos faiblesses.
Amen.
Origènes
1ere Lecture
Romains 7, 18-25a
Chers frères et sœurs en Christ,
Aujourd’hui, nous nous penchons sur un passage profond de l’apôtre Paul dans sa lettre aux Romains : « Qui donc me délivrera de ce corps qui m’entraîne à la mort ? » (Rm 7, 24). Ces mots résonnent avec une intensité particulière dans nos vies modernes, où nous sommes souvent confrontés à nos luttes intérieures et à nos faiblesses humaines.
La Lutte Intérieure
Paul exprime ici une réalité que nous connaissons tous : la lutte entre notre désir de faire le bien et notre inclination au péché. Il dit : « Je ne fais pas le bien que je veux, mais je fais le mal que je ne veux pas » (Rm 7, 19). Cette dichotomie est universelle. Nous aspirons à vivre selon la volonté de Dieu, mais nous sommes souvent entraînés par nos passions, nos doutes et nos faiblesses.
La Nature du Corps
Le corps, dans ce contexte, représente non seulement notre humanité physique, mais aussi nos inclinations pécheresses. Paul nous rappelle que nous ne sommes pas seuls dans cette bataille. Chaque chrétien ressent cette tension entre l’esprit et la chair. Cette lutte est une partie intégrante de notre cheminement de foi.
L’Importance de la Grâce
Cependant, Paul ne s’arrête pas à la lamentation. Il nous offre une réponse pleine d’espoir : « Grâce à Dieu par Jésus-Christ notre Seigneur ! » (Rm 7, 25). C’est là que réside notre délivrance. Jésus, par son sacrifice, nous offre la grâce nécessaire pour surmonter nos luttes. Il nous appelle à nous tourner vers lui, à confier nos faiblesses et nos combats à sa miséricorde.
Un Appel à la Transformation
Cette homélie nous invite à réfléchir sur notre propre vie. Quels sont les « corps » qui nous entraînent à la mort ? Quelles sont les habitudes, les pensées ou les relations qui nous éloignent de Dieu ? En prenant conscience de ces réalités, nous pouvons commencer à chercher la transformation que seule la grâce de Dieu peut apporter.
Conclusion
Frères et sœurs, ne perdons pas espoir dans notre lutte. Comme Paul, nous pouvons crier notre désespoir, mais nous pouvons aussi proclamer notre confiance en Jésus-Christ, qui nous délivre. Approchons-nous de lui avec foi, sachant qu’il est notre force et notre salut. Que cette semaine soit une opportunité de renouveler notre engagement à vivre selon l’Esprit, en nous appuyant sur la grâce de Dieu pour surmonter nos faiblesses.
Amen.
Origènes
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