#cotedivoire #specialjnj2025 #vocation
Salon des vocations : quand les jeunes cherchent leur voie à la Cité Paiya
La Cité Paiya, à la place Jean-Paul a accueilli ce samedi 23 août 2025, un moment phare des Journées Nationales de la Jeunesse : le Salon des vocations. Dans une ambiance fraternelle, prêtres, religieux et religieuses de différentes congrégations se sont succédé sur le podium pour partager leurs parcours de foi, leurs joies, mais aussi leurs difficultés.
Des pères qui témoignent avec franchise
Le Père Antoine de Marie, prêtre de la Société des Missions Africaines (SMA), a captivé l’auditoire par la simplicité et la profondeur de son témoignage : « Être prêtre, c’est marcher avec le peuple de Dieu ».D’autres prêtres, issus notamment des diocèses de Bouaké et de Yamoussoukro, ont insisté sur la nécessité de la prière et de la persévérance : « La vocation, ce n’est pas une aventure facile, mais c’est une grâce qui comble », a rappelé l’un d’eux.
Les religieuses parlent à cœur ouvert
Les sœurs n’ont pas été en reste. Plusieurs congrégations féminines ont présenté leur mission, qu’elle soit éducative, sanitaire ou pastorale. Une religieuse a confié avec émotion : « Dans la vie consacrée, il y a des sacrifices, mais il y a surtout une immense joie de se donner aux autres. Chaque sourire d’enfant, chaque vie soutenue est une victoire ». Le témoignage de certaines jeunes sœurs, encore en formation, a touché les cœurs par leur sincérité et leur enthousiasme à répondre à l’appel de Dieu malgré les défis.
Des jeunes interpellés et inspirés
Au milieu des applaudissements, les jeunes n’ont pas hésité à poser des questions directes : sur la vie au séminaire, sur le célibat, ou encore sur les réalités concrètes du quotidien d’une religieuse.
À la sortie, Stéphane, 22 ans, de Daloa, confiait : « Moi je suis venu par curiosité, mais j’ai compris que suivre le Christ, c’est aussi une voie possible pour ma vie. Ça me fait réfléchir ».Pour Sandrine, 19 ans, venue de Korhogo, ce salon a été une découverte : « J’ai vu des sœurs heureuses, épanouies. Ça casse un peu les clichés qu’on a parfois ».
Un espace de discernement
Au-delà des témoignages, ce salon a ouvert un véritable chemin de discernement. Les jeunes ont trouvé des réponses, parfois aussi de nouvelles questions, mais surtout une conviction : la vocation, quelle qu’elle soit, est un don et une mission pour le monde.
#TeamCatholikia à Yakro
Salon des vocations : quand les jeunes cherchent leur voie à la Cité Paiya
La Cité Paiya, à la place Jean-Paul a accueilli ce samedi 23 août 2025, un moment phare des Journées Nationales de la Jeunesse : le Salon des vocations. Dans une ambiance fraternelle, prêtres, religieux et religieuses de différentes congrégations se sont succédé sur le podium pour partager leurs parcours de foi, leurs joies, mais aussi leurs difficultés.
Des pères qui témoignent avec franchise
Le Père Antoine de Marie, prêtre de la Société des Missions Africaines (SMA), a captivé l’auditoire par la simplicité et la profondeur de son témoignage : « Être prêtre, c’est marcher avec le peuple de Dieu ».D’autres prêtres, issus notamment des diocèses de Bouaké et de Yamoussoukro, ont insisté sur la nécessité de la prière et de la persévérance : « La vocation, ce n’est pas une aventure facile, mais c’est une grâce qui comble », a rappelé l’un d’eux.
Les religieuses parlent à cœur ouvert
Les sœurs n’ont pas été en reste. Plusieurs congrégations féminines ont présenté leur mission, qu’elle soit éducative, sanitaire ou pastorale. Une religieuse a confié avec émotion : « Dans la vie consacrée, il y a des sacrifices, mais il y a surtout une immense joie de se donner aux autres. Chaque sourire d’enfant, chaque vie soutenue est une victoire ». Le témoignage de certaines jeunes sœurs, encore en formation, a touché les cœurs par leur sincérité et leur enthousiasme à répondre à l’appel de Dieu malgré les défis.
Des jeunes interpellés et inspirés
Au milieu des applaudissements, les jeunes n’ont pas hésité à poser des questions directes : sur la vie au séminaire, sur le célibat, ou encore sur les réalités concrètes du quotidien d’une religieuse.
À la sortie, Stéphane, 22 ans, de Daloa, confiait : « Moi je suis venu par curiosité, mais j’ai compris que suivre le Christ, c’est aussi une voie possible pour ma vie. Ça me fait réfléchir ».Pour Sandrine, 19 ans, venue de Korhogo, ce salon a été une découverte : « J’ai vu des sœurs heureuses, épanouies. Ça casse un peu les clichés qu’on a parfois ».
Un espace de discernement
Au-delà des témoignages, ce salon a ouvert un véritable chemin de discernement. Les jeunes ont trouvé des réponses, parfois aussi de nouvelles questions, mais surtout une conviction : la vocation, quelle qu’elle soit, est un don et une mission pour le monde.
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