#cotedivoire #initiativepaix
Les Guides Religieux se concertent
pour une élection présidentielle apaisée
À moins de deux mois de l’élection présidentielle prévue le 25 octobre 2025, les principaux leaders religieux de Côte d’Ivoire ont amorcé une démarche forte en faveur de la paix et de la cohésion nationale.
En effet, le samedi 6 septembre 2025, le Cheikhoul Aïma Ousmane Diakité, président du Conseil Supérieur des Imams, des Mosquées et des Affaires Islamiques (COSIM) a échangé avec le Révérend Dr N’Guessan Kouadio Noël, président de la Fédération Évangélique de Côte d’Ivoire (FECI) et le Cardinal Ignace Bessi Dogbo, Archevêque métropolitain d’Abidjan.
Au menu de cette initiative interreligieuse, préserver la paix sociale et assurer un processus électoral sans violences. Il s’agissait surtout de baisser la montée de fièvre apparente en renforçant les liens entre les communautés chrétiennes et musulmanes du pays.
En Côte d’Ivoire, les hommes de foi restent des voix bien plus crédibles dans le paysage. Ils témoignent ainsi de la volonté commune des leaders religieux et de la société civile de jouer un rôle actif dans la stabilité nationale.
— Jean Oued—
Catholikia
Les Guides Religieux se concertent
pour une élection présidentielle apaisée
À moins de deux mois de l’élection présidentielle prévue le 25 octobre 2025, les principaux leaders religieux de Côte d’Ivoire ont amorcé une démarche forte en faveur de la paix et de la cohésion nationale.
En effet, le samedi 6 septembre 2025, le Cheikhoul Aïma Ousmane Diakité, président du Conseil Supérieur des Imams, des Mosquées et des Affaires Islamiques (COSIM) a échangé avec le Révérend Dr N’Guessan Kouadio Noël, président de la Fédération Évangélique de Côte d’Ivoire (FECI) et le Cardinal Ignace Bessi Dogbo, Archevêque métropolitain d’Abidjan.
Au menu de cette initiative interreligieuse, préserver la paix sociale et assurer un processus électoral sans violences. Il s’agissait surtout de baisser la montée de fièvre apparente en renforçant les liens entre les communautés chrétiennes et musulmanes du pays.
En Côte d’Ivoire, les hommes de foi restent des voix bien plus crédibles dans le paysage. Ils témoignent ainsi de la volonté commune des leaders religieux et de la société civile de jouer un rôle actif dans la stabilité nationale.
— Jean Oued—
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