#BonASavoir
QUELQUES ERREURS GESTUELLES COMMISES PENDANT LA MESSE QU’IL FAUT CORRIGER
La messe a des rites et des gestes bien établies qu’il est tres important de connaître mais encore plus de respecter et de suivre. VOICI LES CINQ ERREURS LES PLUS COMMUNES QUE NOUS POURRIONS COMMETTRE SANS MÊME NOUS EN RENDRE COMPTE.
1 – PENDANT LA CONSÉCRATION, FAUT-IL S’AGENOUILLER OU RESTER DEBOUT ?
Les fidèles « S’AGENOUILLERONT POUR LA CONSÉCRATION, À MOINS QUE LEUR ÉTAT DE SANTÉ, L’EXIGUÏTÉ DES LIEUX OU LE GRAND NOMBRE DES PARTICIPANTS OU d’AUTRES JUSTES RAISONS NE S´Y OPPOSENT », est-il écrit très précisement dans la Présentation générale du Missel Romain (PGMR), n°43. L’Église conseille de rester à genoux durant toute la consécration et de se lever après la réponse : « NOUS ANNONÇONS TA MORT, SEIGNEUR JÉSUS, NOUS PROCLAMONS TA RÉSURRECTION, NOUS ATTENDONS TA VENUE DANS LA GLOIRE ».
2 — LE SIGNE DE LA PAIX
Concernant le signe de la paix échangé entre les fidèles, le pape Benoît XVI a déclaré dans l’exhortation apostolique Sacramentum caritatis : « Durant le Synode des évêques, il a paru opportun de modérer ce geste, qui peut prendre des expressions excessives, suscitant un peu de confusion dans l’Assemblée juste avant la Communion. » En termes clairs, il faut éviter les déplacements dans l’église et surtout le bavardage au moment du don de la paix. SALUEZ JUSTE LES PLUS PROCHES VOISINS ET VOISINES.
3 – « MAIS DÉLIVRE-NOUS DU MAL ». AMEN !
Nous savons bien que la règle générale pour terminer correctement une prière est de prononcer le mot « Amen ».
ALORS POURQUOI NE DOIT-ON PAS LE FAIRE À LA FIN DU NOTRE PÈRE PENDANT LA MESSE ?
Le mot hébreu « AMEN », traduisible approximativement par « AINSI SOIT-IL », se prononce à la fin d’une prière ; si pour le Notre Père, récité pendant la messe, on ne le dit pas, c’est tout simplement parce ce que la prière n’est pas encore terminée.
Après que l’assemblée a conclu en disant « DÉLIVRE-NOUS DU MAL », au lieu de dire « AMEN », le prêtre développe cette dernière demande faite à notre Père en disant : « Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Soutenu par ta miséricorde, nous serons libérés de tout péché et à l’abris de toute épreuve, nous qui attendons que ce réalise cette bienheureuse espérance : l’avènement de notre Seigneur Jésus Christ ». Et c’est après ce développement que l’assemblée répond.
4 – « PAR LUI, AVEC LUI ET EN LUI… »
Il y a des prières dont les prêtres seuls ont l’exclusivité. Par exemple, à la fin de la prière eucharistique, la doxologie « Par lui (le Christ), avec lui et en lui… ». Même si le célébrant invite en disant « tous ensemble », les fidèles devront rester en silence, immobiles, et répondre solennellement à haute et intelligible voix « Amen » (PGMR 151). Les laïcs ne doivent pas non plus réciter la prière de la paix : « Seigneur Jésus Christ, Tu as dit à tes Apôtres “Je vous laisse la paix, Je vous donne ma paix”… ». SEUL LE PRÊTRE PRONONCE CETTE PRIÈRE.
Il faut distinguer le rôle du prêtre de celui du laïc pendant la messe.
5 – LE JEÛNE EUCHARISTIQUE
L’Église, en règle générale, demande un jeûne eucharistique d’une heure avant la communion, qui consiste à se priver de nourriture et de boisson, alors que l’eau et les médicaments sont autorisés (Constitution apostolique Christus Dominus).
Le jeûne comprend aussi l’interdiction de mâcher du chewing-gum avant et pendant la célébration de la messe. La règle est obligatoire et la violer en toute conscience est considérée par l’Église comme un sacrilège. Ne pas l’enfreindre est signe de profond respect de la part de ceux qui voient la présence réelle du Christ dans l’Eucharistie, et la juste attitude pour se préparer correctement à recevoir le Seigneur.
Source : ALETEIA
QUELQUES ERREURS GESTUELLES COMMISES PENDANT LA MESSE QU’IL FAUT CORRIGER
La messe a des rites et des gestes bien établies qu’il est tres important de connaître mais encore plus de respecter et de suivre. VOICI LES CINQ ERREURS LES PLUS COMMUNES QUE NOUS POURRIONS COMMETTRE SANS MÊME NOUS EN RENDRE COMPTE.
1 – PENDANT LA CONSÉCRATION, FAUT-IL S’AGENOUILLER OU RESTER DEBOUT ?
Les fidèles « S’AGENOUILLERONT POUR LA CONSÉCRATION, À MOINS QUE LEUR ÉTAT DE SANTÉ, L’EXIGUÏTÉ DES LIEUX OU LE GRAND NOMBRE DES PARTICIPANTS OU d’AUTRES JUSTES RAISONS NE S´Y OPPOSENT », est-il écrit très précisement dans la Présentation générale du Missel Romain (PGMR), n°43. L’Église conseille de rester à genoux durant toute la consécration et de se lever après la réponse : « NOUS ANNONÇONS TA MORT, SEIGNEUR JÉSUS, NOUS PROCLAMONS TA RÉSURRECTION, NOUS ATTENDONS TA VENUE DANS LA GLOIRE ».
2 — LE SIGNE DE LA PAIX
Concernant le signe de la paix échangé entre les fidèles, le pape Benoît XVI a déclaré dans l’exhortation apostolique Sacramentum caritatis : « Durant le Synode des évêques, il a paru opportun de modérer ce geste, qui peut prendre des expressions excessives, suscitant un peu de confusion dans l’Assemblée juste avant la Communion. » En termes clairs, il faut éviter les déplacements dans l’église et surtout le bavardage au moment du don de la paix. SALUEZ JUSTE LES PLUS PROCHES VOISINS ET VOISINES.
3 – « MAIS DÉLIVRE-NOUS DU MAL ». AMEN !
Nous savons bien que la règle générale pour terminer correctement une prière est de prononcer le mot « Amen ».
ALORS POURQUOI NE DOIT-ON PAS LE FAIRE À LA FIN DU NOTRE PÈRE PENDANT LA MESSE ?
Le mot hébreu « AMEN », traduisible approximativement par « AINSI SOIT-IL », se prononce à la fin d’une prière ; si pour le Notre Père, récité pendant la messe, on ne le dit pas, c’est tout simplement parce ce que la prière n’est pas encore terminée.
Après que l’assemblée a conclu en disant « DÉLIVRE-NOUS DU MAL », au lieu de dire « AMEN », le prêtre développe cette dernière demande faite à notre Père en disant : « Délivre-nous de tout mal, Seigneur, et donne la paix à notre temps. Soutenu par ta miséricorde, nous serons libérés de tout péché et à l’abris de toute épreuve, nous qui attendons que ce réalise cette bienheureuse espérance : l’avènement de notre Seigneur Jésus Christ ». Et c’est après ce développement que l’assemblée répond.
4 – « PAR LUI, AVEC LUI ET EN LUI… »
Il y a des prières dont les prêtres seuls ont l’exclusivité. Par exemple, à la fin de la prière eucharistique, la doxologie « Par lui (le Christ), avec lui et en lui… ». Même si le célébrant invite en disant « tous ensemble », les fidèles devront rester en silence, immobiles, et répondre solennellement à haute et intelligible voix « Amen » (PGMR 151). Les laïcs ne doivent pas non plus réciter la prière de la paix : « Seigneur Jésus Christ, Tu as dit à tes Apôtres “Je vous laisse la paix, Je vous donne ma paix”… ». SEUL LE PRÊTRE PRONONCE CETTE PRIÈRE.
Il faut distinguer le rôle du prêtre de celui du laïc pendant la messe.
5 – LE JEÛNE EUCHARISTIQUE
L’Église, en règle générale, demande un jeûne eucharistique d’une heure avant la communion, qui consiste à se priver de nourriture et de boisson, alors que l’eau et les médicaments sont autorisés (Constitution apostolique Christus Dominus).
Le jeûne comprend aussi l’interdiction de mâcher du chewing-gum avant et pendant la célébration de la messe. La règle est obligatoire et la violer en toute conscience est considérée par l’Église comme un sacrilège. Ne pas l’enfreindre est signe de profond respect de la part de ceux qui voient la présence réelle du Christ dans l’Eucharistie, et la juste attitude pour se préparer correctement à recevoir le Seigneur.
Source : ALETEIA
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