#BonASavoir
Dix choses à savoir sur Saint Jean-Marie Vianney, célébré ce 4 août
Ce 4 août, l’Église catholique célèbre Saint Jean-Marie Vianney, plus connu sous le nom de Curé d’Ars. Patron des prêtres de paroisse depuis 1929, ce saint français du XIXe siècle continue d’inspirer par son humilité, sa vie austère et son dévouement pastoral hors du commun. Catholikia consacre ce jour un hommage spécial à ce modèle de vie sacerdotale.
📍Né pendant la Révolution
Jean-Marie Vianney voit le jour le 8 mai 1786 à Dardilly, près de Lyon, dans une France bouleversée par la Révolution. Il grandit dans une famille paysanne profondément croyante, dans un contexte de persécutions religieuses.
📍Éduqué dans la clandestinité
Enfant, il reçoit les sacrements en cachette. La messe se célèbre alors dans des granges, et les prêtres réfractaires risquent la mort. Ce climat forge sa vocation.
📍Mauvais élève… devenu prêtre
Malgré de sérieuses lacunes scolaires, notamment en latin, et des échecs répétés, il est ordonné prêtre en 1815, grâce à la persévérance d’un vicaire et la bienveillance de ses formateurs.
📍Curé d’un village oublié
En 1818, il est nommé à Ars, un petit hameau de 230 habitants. Le village est spirituellement déserté ; Vianney décide de le relever par la prière, le jeûne et la confession.
📍Confesseur inlassable
Il passe jusqu’à 17 heures par jour dans le confessionnal. Des pèlerins viennent de toute la France – parfois de l’étranger – pour se confesser à lui. On estime qu’il recevait jusqu’à 80 000 personnes par an à la fin de sa vie.
📍Vie austère et miracles
Il dormait peu, mangeait peu, priait beaucoup. Des contemporains rapportent des faits mystérieux : guérisons, lectures dans les cœurs, prophéties. Lui-même rejetait toute glorification.
📍Tenté de fuir sa popularité
Débordé par l’afflux des fidèles, il tente à plusieurs reprises de fuir Ars. Mais il revient chaque fois, guidé par son devoir pastoral.
📍Mort en odeur de sainteté
Il meurt à Ars le 4 août 1859, à 73 ans, après plus de 40 ans de ministère. Toute la France catholique pleure sa disparition.
📍Canonisé et élevé au rang de patron
Il est canonisé en 1925 par le pape Pie XI, puis proclamé patron de tous les curés de paroisse en 1929. Sa mémoire est célébrée chaque 4 août.
📍Son corps repose à Ars
Son corps, resté incorrompu, est exposé à la vénération des fidèles dans la basilique d’Ars-sur-Formans, dans l’Ain. Ce sanctuaire reste l’un des hauts lieux de pèlerinage en France.
En Côte d’Ivoire, plusieurs paroisses sont placées sous son patronage, témoignant de l’influence spirituelle du Curé d’Ars sur le clergé local. C’est le cas de la paroisse Saint Jean-Marie Vianney de Vridi Cité, dans le diocèse de Grand-Bassam, ainsi que de la paroisse Saint Martin Vianney de Koweït, dans le diocèse de Yopougon.
Dix choses à savoir sur Saint Jean-Marie Vianney, célébré ce 4 août
Ce 4 août, l’Église catholique célèbre Saint Jean-Marie Vianney, plus connu sous le nom de Curé d’Ars. Patron des prêtres de paroisse depuis 1929, ce saint français du XIXe siècle continue d’inspirer par son humilité, sa vie austère et son dévouement pastoral hors du commun. Catholikia consacre ce jour un hommage spécial à ce modèle de vie sacerdotale.
📍Né pendant la Révolution
Jean-Marie Vianney voit le jour le 8 mai 1786 à Dardilly, près de Lyon, dans une France bouleversée par la Révolution. Il grandit dans une famille paysanne profondément croyante, dans un contexte de persécutions religieuses.
📍Éduqué dans la clandestinité
Enfant, il reçoit les sacrements en cachette. La messe se célèbre alors dans des granges, et les prêtres réfractaires risquent la mort. Ce climat forge sa vocation.
📍Mauvais élève… devenu prêtre
Malgré de sérieuses lacunes scolaires, notamment en latin, et des échecs répétés, il est ordonné prêtre en 1815, grâce à la persévérance d’un vicaire et la bienveillance de ses formateurs.
📍Curé d’un village oublié
En 1818, il est nommé à Ars, un petit hameau de 230 habitants. Le village est spirituellement déserté ; Vianney décide de le relever par la prière, le jeûne et la confession.
📍Confesseur inlassable
Il passe jusqu’à 17 heures par jour dans le confessionnal. Des pèlerins viennent de toute la France – parfois de l’étranger – pour se confesser à lui. On estime qu’il recevait jusqu’à 80 000 personnes par an à la fin de sa vie.
📍Vie austère et miracles
Il dormait peu, mangeait peu, priait beaucoup. Des contemporains rapportent des faits mystérieux : guérisons, lectures dans les cœurs, prophéties. Lui-même rejetait toute glorification.
📍Tenté de fuir sa popularité
Débordé par l’afflux des fidèles, il tente à plusieurs reprises de fuir Ars. Mais il revient chaque fois, guidé par son devoir pastoral.
📍Mort en odeur de sainteté
Il meurt à Ars le 4 août 1859, à 73 ans, après plus de 40 ans de ministère. Toute la France catholique pleure sa disparition.
📍Canonisé et élevé au rang de patron
Il est canonisé en 1925 par le pape Pie XI, puis proclamé patron de tous les curés de paroisse en 1929. Sa mémoire est célébrée chaque 4 août.
📍Son corps repose à Ars
Son corps, resté incorrompu, est exposé à la vénération des fidèles dans la basilique d’Ars-sur-Formans, dans l’Ain. Ce sanctuaire reste l’un des hauts lieux de pèlerinage en France.
En Côte d’Ivoire, plusieurs paroisses sont placées sous son patronage, témoignant de l’influence spirituelle du Curé d’Ars sur le clergé local. C’est le cas de la paroisse Saint Jean-Marie Vianney de Vridi Cité, dans le diocèse de Grand-Bassam, ainsi que de la paroisse Saint Martin Vianney de Koweït, dans le diocèse de Yopougon.
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