Méditation du 1er avril 2025 : mardi de la quatrième semaine de Carême
Dans la première lecture du prophète Ézéchiel, un courant d’eau jaillissant du Temple insuffle la vie à tout ce qu’il touche. Cette image nous rappelle la transformation que les eaux du baptême opèrent en nous, nous apportant une existence nouvelle.
Dans l’évangile, Jésus se trouve près du bassin des moutons à Jérusalem, un lieu réputé pour ses vertus curatives. Par une simple parole, il guérit un homme, lui ordonnant de se lever et de marcher. Les autorités, contrariées, lui reprochent d’avoir accompli cela un jour de sabbat. Elles ne reconnaissent pas l’œuvre de Dieu, une puissance qui ne s’interrompt pas, même le jour du repos. Jésus incarne le Temple évoqué dans la première lecture, et l’eau qui coule en lui est celle du baptême. Nous sommes figurés par les arbres, les poissons et toutes les créatures qui puisent leur vie dans cette eau.
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