Le 28 octobre 1965, Paul VI apposait sa signature à la déclaration Nostra Aetate adoptée par les pères du concile Vatican II. Ce texte majeur a redéfini le rapport du christianisme et de l’Église aux religions non-chrétiennes, notamment le judaïsme. C’est le fruit d’un processus amorcé après la Seconde Guerre mondiale et qui ne cesse d’être réactualisé. Entretien avec Olivier Rota, professeur en histoire de l’Église à l’Université catholique de Lille, spécialiste des relations avec les juifs.
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