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Hommage à Monseigneur Alexis Touabli Youlo
Il y a des pasteurs qui enseignent, d’autres qui gouvernent… et puis il y a Monseigneur Alexis Touabli Youlo, celui qui aimait.
Aimait d’une manière unique, simple et vraie.
Sous sa soutane d’évêque battait le cœur d’un père qui savait rire, taquiner, et reconnaître dans chacun la beauté d’un don particulier.
Monseigneur Alexis avait ce don rare : il connaissait chacun de ses prêtres personnellement. Non pas seulement par leur nom ou leur fonction, mais par leur tempérament, leur manière d’être, leur feu intérieur. Et pour chacun, il avait trouvé un sobriquet, une sorte de sceau paternel, à la fois affectueux, prophétique et plein d’humour.
Ainsi, le Père Boni Boni était pour lui « le Magnifique »,
le Père Louis Philippe Amako, « le Peul »,
le Père Noël Djambi, « Boanergès », c’est-à-dire le fils du tonnerre,
le Père Mensah, c’était « Allons seulement »,
le Père Marc Stéphane, « Vacanoupil »,
le Père Symphorien N’Tumba, « le Tout-Puissant Mazembe »,
le Père Franck Kouassi, « la bouche de Dieu »,
le Père Ferdinand Edi, « la classe »,
le Père Arsène Konan, « le nonce »,
le Père Innocent Kassi, « le pape »,
le Père Évariste Asseu, « la veste »,
le Père Barthélémy, « la redingote »,
le Père Pacôme N’dé N’dé, « Saint Léon le Grand »,
et le Père Abou EDI , « le riche commerçant ».
Et la liste pourrait s’allonger à l’infini… car tous ses prêtres avaient un surnom. Derrière chaque mot, il y avait un sourire, un souvenir, une affection vraie. Ce n’était pas de la moquerie, mais une manière d’aimer et de reconnaître le charisme de chacun.
Monseigneur Alexis n’était pas seulement venu de San Pedro pour être notre pasteur :
il était devenu notre frère, notre ami, notre père.
Il connaissait son clergé, mais aussi les fidèles laïcs du diocèse, jusque dans les plus petits villages.
À la paroisse du Sacré-Cœur de N’Douci, Charlotte Tiékoura était pour lui « Notre-Dame de la Boue » ;
à la chapelle de Kanganianzé, Kaddy Konan portait son doux surnom ; c’était pour lui « Zia Zia ».
Tous, prêtres, religieuses, catéchistes, laïcs engagés, jeunes, enfants… nous avons un jour reçu de lui un mot, un clin d’œil, un nom qui venait du cœur. Parce que Mgr Alexis Touabli était un “Gnessoa Boa Né”, un homme profondément enraciné, proche de son peuple, attentif aux âmes.
C’est pourquoi, tous ensemble, nous devons envahir la ville d’Agboville, pour rendre à ce père un hommage digne de son amour, le samedi 14 décembre 2025,
à la Cathédrale Saint Jean-Marie Vianney.
Viens dire merci à ton évêque.
Viens témoigner de l’amour qu’il t’a donné.
Et surtout… Écris en commentaire le surnom que Monseigneur t’avait donné.
Parce qu’à travers ces noms, revivent son sourire, sa bonté et son esprit de famille. Un évêque saint, un père vrai, un homme de Dieu. Sancta Sanctis Les choses saintes aux gens saints.
Source : évêché d’Agboville
Hommage à Monseigneur Alexis Touabli Youlo
Il y a des pasteurs qui enseignent, d’autres qui gouvernent… et puis il y a Monseigneur Alexis Touabli Youlo, celui qui aimait.
Aimait d’une manière unique, simple et vraie.
Sous sa soutane d’évêque battait le cœur d’un père qui savait rire, taquiner, et reconnaître dans chacun la beauté d’un don particulier.
Monseigneur Alexis avait ce don rare : il connaissait chacun de ses prêtres personnellement. Non pas seulement par leur nom ou leur fonction, mais par leur tempérament, leur manière d’être, leur feu intérieur. Et pour chacun, il avait trouvé un sobriquet, une sorte de sceau paternel, à la fois affectueux, prophétique et plein d’humour.
Ainsi, le Père Boni Boni était pour lui « le Magnifique »,
le Père Louis Philippe Amako, « le Peul »,
le Père Noël Djambi, « Boanergès », c’est-à-dire le fils du tonnerre,
le Père Mensah, c’était « Allons seulement »,
le Père Marc Stéphane, « Vacanoupil »,
le Père Symphorien N’Tumba, « le Tout-Puissant Mazembe »,
le Père Franck Kouassi, « la bouche de Dieu »,
le Père Ferdinand Edi, « la classe »,
le Père Arsène Konan, « le nonce »,
le Père Innocent Kassi, « le pape »,
le Père Évariste Asseu, « la veste »,
le Père Barthélémy, « la redingote »,
le Père Pacôme N’dé N’dé, « Saint Léon le Grand »,
et le Père Abou EDI , « le riche commerçant ».
Et la liste pourrait s’allonger à l’infini… car tous ses prêtres avaient un surnom. Derrière chaque mot, il y avait un sourire, un souvenir, une affection vraie. Ce n’était pas de la moquerie, mais une manière d’aimer et de reconnaître le charisme de chacun.
Monseigneur Alexis n’était pas seulement venu de San Pedro pour être notre pasteur :
il était devenu notre frère, notre ami, notre père.
Il connaissait son clergé, mais aussi les fidèles laïcs du diocèse, jusque dans les plus petits villages.
À la paroisse du Sacré-Cœur de N’Douci, Charlotte Tiékoura était pour lui « Notre-Dame de la Boue » ;
à la chapelle de Kanganianzé, Kaddy Konan portait son doux surnom ; c’était pour lui « Zia Zia ».
Tous, prêtres, religieuses, catéchistes, laïcs engagés, jeunes, enfants… nous avons un jour reçu de lui un mot, un clin d’œil, un nom qui venait du cœur. Parce que Mgr Alexis Touabli était un “Gnessoa Boa Né”, un homme profondément enraciné, proche de son peuple, attentif aux âmes.
C’est pourquoi, tous ensemble, nous devons envahir la ville d’Agboville, pour rendre à ce père un hommage digne de son amour, le samedi 14 décembre 2025,
à la Cathédrale Saint Jean-Marie Vianney.
Viens dire merci à ton évêque.
Viens témoigner de l’amour qu’il t’a donné.
Et surtout… Écris en commentaire le surnom que Monseigneur t’avait donné.
Parce qu’à travers ces noms, revivent son sourire, sa bonté et son esprit de famille. Un évêque saint, un père vrai, un homme de Dieu. Sancta Sanctis Les choses saintes aux gens saints.
Source : évêché d’Agboville
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