🔴 Homélie du dimanche de la joie Gaudette.
« La joie qui naît de l’Espérance »
Chers frères et sœurs, en ce troisième dimanche de l’Avent, la sainte Église, notre Mère, nous convie à une joie singulière : « Réjouissez-vous ! », car le Seigneur est proche. Pourtant, une question s’impose à nos cœurs : comment se réjouir lorsque le monde nous renvoie chaque jour l’image de la guerre, des attentats, des coups d’État et des catastrophes ? Comment être dans la joie au cœur de la maladie, de l’abandon, de l’épreuve d’un avenir médical incertain ? Comment se réjouir après de longues années de mariage sans enfant, après une décennie de chômage sans perspective, ou encore après une vie marquée par la solitude, l’incompréhension et le silence des autres ?
Frères et sœurs, la liturgie de ce jour ne nie pas nos souffrances ; elle les traverse et les éclaire. Elle nous invite à la joie, non comme une émotion superficielle, mais comme un acte de foi. Celui qui vient est le Prince de la paix ; c’est Lui qui fonde et soutient notre joie. Dans l’attente de la révélation du Christ, demeurons dans cette joie confiante, car elle ouvre nos vies à la faveur divine. Celui qui se réjouit dans le Seigneur devient, pour son prochain, un artisan de paix et un témoin d’espérance. Réjouissons-nous donc : le Messie est notre joie et notre espérance. Bon dimanche de la joie.
▪️Père Francis Marie de la Compassion KABORÉ / Institut Religieux Masculin Mère du Divin Amour
« La joie qui naît de l’Espérance »
Chers frères et sœurs, en ce troisième dimanche de l’Avent, la sainte Église, notre Mère, nous convie à une joie singulière : « Réjouissez-vous ! », car le Seigneur est proche. Pourtant, une question s’impose à nos cœurs : comment se réjouir lorsque le monde nous renvoie chaque jour l’image de la guerre, des attentats, des coups d’État et des catastrophes ? Comment être dans la joie au cœur de la maladie, de l’abandon, de l’épreuve d’un avenir médical incertain ? Comment se réjouir après de longues années de mariage sans enfant, après une décennie de chômage sans perspective, ou encore après une vie marquée par la solitude, l’incompréhension et le silence des autres ?
Frères et sœurs, la liturgie de ce jour ne nie pas nos souffrances ; elle les traverse et les éclaire. Elle nous invite à la joie, non comme une émotion superficielle, mais comme un acte de foi. Celui qui vient est le Prince de la paix ; c’est Lui qui fonde et soutient notre joie. Dans l’attente de la révélation du Christ, demeurons dans cette joie confiante, car elle ouvre nos vies à la faveur divine. Celui qui se réjouit dans le Seigneur devient, pour son prochain, un artisan de paix et un témoin d’espérance. Réjouissons-nous donc : le Messie est notre joie et notre espérance. Bon dimanche de la joie.
▪️Père Francis Marie de la Compassion KABORÉ / Institut Religieux Masculin Mère du Divin Amour
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