✝️ *Méditation* ✝️
Jésus traverse la ville de Jéricho. Au milieu de la foule, un homme se faufile, court, grimpe… Il s’appelle Zachée. Chef des collecteurs d’impôts, riche, considéré comme pécheur, exclu par la société. Pourtant, au fond de son cœur, brûle un désir : voir Jésus.
Voilà déjà le premier appel de cette page d’Évangile :
aucune situation de vie, aucun passé, aucun péché ne peut étouffer le désir profond de Dieu.
Même dans les cœurs les plus blessés, Dieu laisse un espace où la recherche renaît.
Zachée monte sur un sycomore. Il n’a pas peur du ridicule. Quand le désir de Dieu est vrai, on trouve la force de dépasser les obstacles, de rompre avec les habitudes, de poser des gestes audacieux.
Et là, au moment où il pensait simplement apercevoir Jésus… c’est Jésus qui lève les yeux.
Jésus qui regarde.
Jésus qui appelle.
Jésus qui dit son nom :
« Zachée, descends vite : aujourd’hui il faut que j’aille demeurer dans ta maison. »
Dans la spiritualité franciscaine, Dieu n’attend pas que nous soyons parfaits pour nous visiter.
Il nous rejoint dans notre vérité, là où nous sommes.
François d’Assise parlait souvent du “Dieu humble”, du Dieu qui se fait proche, qui se fait frère, qui entre dans nos maisons même fragiles.
Zachée accueille Jésus avec joie. La présence de Jésus transforme son cœur : il devient plus libre, plus généreux, plus vrai. Le salut n’est pas une théorie ; il est une rencontre qui change la vie.
Et Jésus conclut :
« Le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu. »
C’est le cœur même de l’Évangile. C’est le cœur même de notre vie chrétienne.
C’est aussi le cœur de la vie franciscaine : aller vers ceux que le monde regarde comme “perdus”, les écouter, les aimer, leur révéler qu’ils ont un nom, une dignité, une maison où Dieu veut demeurer.
✝️ *Prière* ✝️
Seigneur Jésus,
comme Zachée, tu m’appelles par mon nom.
Tu lèves les yeux vers moi, non pour me juger,
mais pour m’inviter à t’ouvrir ma maison intérieure.
Donne-moi le courage de descendre de mes sécurités,
de courir vers Toi,
et de te laisser transformer ma vie.
Que je devienne, à la manière de saint François,
un témoin de ta miséricorde,
un frère pour ceux qui se sentent perdus.
Amen.
Jésus traverse la ville de Jéricho. Au milieu de la foule, un homme se faufile, court, grimpe… Il s’appelle Zachée. Chef des collecteurs d’impôts, riche, considéré comme pécheur, exclu par la société. Pourtant, au fond de son cœur, brûle un désir : voir Jésus.
Voilà déjà le premier appel de cette page d’Évangile :
aucune situation de vie, aucun passé, aucun péché ne peut étouffer le désir profond de Dieu.
Même dans les cœurs les plus blessés, Dieu laisse un espace où la recherche renaît.
Zachée monte sur un sycomore. Il n’a pas peur du ridicule. Quand le désir de Dieu est vrai, on trouve la force de dépasser les obstacles, de rompre avec les habitudes, de poser des gestes audacieux.
Et là, au moment où il pensait simplement apercevoir Jésus… c’est Jésus qui lève les yeux.
Jésus qui regarde.
Jésus qui appelle.
Jésus qui dit son nom :
« Zachée, descends vite : aujourd’hui il faut que j’aille demeurer dans ta maison. »
Dans la spiritualité franciscaine, Dieu n’attend pas que nous soyons parfaits pour nous visiter.
Il nous rejoint dans notre vérité, là où nous sommes.
François d’Assise parlait souvent du “Dieu humble”, du Dieu qui se fait proche, qui se fait frère, qui entre dans nos maisons même fragiles.
Zachée accueille Jésus avec joie. La présence de Jésus transforme son cœur : il devient plus libre, plus généreux, plus vrai. Le salut n’est pas une théorie ; il est une rencontre qui change la vie.
Et Jésus conclut :
« Le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu. »
C’est le cœur même de l’Évangile. C’est le cœur même de notre vie chrétienne.
C’est aussi le cœur de la vie franciscaine : aller vers ceux que le monde regarde comme “perdus”, les écouter, les aimer, leur révéler qu’ils ont un nom, une dignité, une maison où Dieu veut demeurer.
✝️ *Prière* ✝️
Seigneur Jésus,
comme Zachée, tu m’appelles par mon nom.
Tu lèves les yeux vers moi, non pour me juger,
mais pour m’inviter à t’ouvrir ma maison intérieure.
Donne-moi le courage de descendre de mes sécurités,
de courir vers Toi,
et de te laisser transformer ma vie.
Que je devienne, à la manière de saint François,
un témoin de ta miséricorde,
un frère pour ceux qui se sentent perdus.
Amen.
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