✝️ *Méditation* ✝️
En approchant de Jérusalem, Jésus ne se réjouit pas comme un roi qui entre dans sa ville. Il pleure. Il pleure parce qu’il voit au-delà des murailles : il voit les cœurs, il voit le refus, il voit le drame qui s’annonce.
Jésus pleure non pas sur des pierres, mais sur un peuple qui n’a pas su reconnaître le moment de la visite de Dieu.
Il pleure parce que l’Amour s’est présenté, mais il n’a pas été accueilli.
Il pleure parce que la Paix était offerte, mais elle n’a pas été reconnue.
Ces larmes sont celles d’un Dieu qui aime jusqu’au bout.
Un Dieu qui n’impose jamais, qui propose toujours, mais qui souffre lorsque l’homme ferme son cœur.
1. « Ce qui donne la paix » : un don souvent méconnu
La paix que Jésus apporte n’est pas celle que le monde peut donner.
Elle n’est pas absence de difficulté, mais présence de Dieu dans la difficulté.
Elle n’est pas tranquillité extérieure, mais repos intérieur.
Elle n’est pas un concept, mais une Personne : Jésus lui-même.
Reconnaître « ce qui donne la paix », c’est reconnaître Jésus comme Seigneur, Sauveur, Frère, Consolateur.
C’est accueillir son regard, sa parole, son chemin.
2. Les larmes de Jésus : un appel à la conversion
Lorsque Jésus pleure, il nous montre que Dieu n’est pas indifférent à nos choix.
Il ne dit pas : « Tant pis pour eux ».
Il dit plutôt : « Pourquoi te détourner de la vie ? Pourquoi fuir la vraie paix ? »
Les larmes de Jésus sont un appel à revenir, à ouvrir les yeux, à accueillir Dieu aujourd’hui, maintenant, avant qu’il ne soit trop tard.
Parfois, nous aussi, nous manquons les visites de Dieu :
• une parole qui nous touche mais que nous repoussons,
• une personne que Dieu met sur notre route mais que nous ignorons,
• un appel intérieur que nous étouffons,
• une invitation à pardonner, à changer, à recommencer.
3. « Le moment où Dieu te visitait » : Dieu continue de venir
Ce passage n’est pas une histoire du passé.
C’est un miroir pour aujourd’hui.
Dieu nous visite chaque jour :
dans la prière,
dans la Parole,
dans les sacrements,
dans les pauvres,
dans les événements,
dans les inspirations intérieures,
dans les appels de notre vocation.
Reconnaissons-nous ses visites ?
Ou les ignorons-nous par peur, par routine, par distraction ou par dureté de cœur ?
✝️ *Prière* ✝️
Seigneur Jésus,
toi qui as pleuré sur Jérusalem,
viens pleurer aussi sur nos cœurs parfois fermés.
Adoucis ce qui est dur, ouvre ce qui est fermé, éclaire ce qui est obscur.
Donne-nous de reconnaître le moment où tu nous visites,
de ne pas laisser passer ta paix,
de t’accueillir comme Seigneur de notre vie.
Amen.
En approchant de Jérusalem, Jésus ne se réjouit pas comme un roi qui entre dans sa ville. Il pleure. Il pleure parce qu’il voit au-delà des murailles : il voit les cœurs, il voit le refus, il voit le drame qui s’annonce.
Jésus pleure non pas sur des pierres, mais sur un peuple qui n’a pas su reconnaître le moment de la visite de Dieu.
Il pleure parce que l’Amour s’est présenté, mais il n’a pas été accueilli.
Il pleure parce que la Paix était offerte, mais elle n’a pas été reconnue.
Ces larmes sont celles d’un Dieu qui aime jusqu’au bout.
Un Dieu qui n’impose jamais, qui propose toujours, mais qui souffre lorsque l’homme ferme son cœur.
1. « Ce qui donne la paix » : un don souvent méconnu
La paix que Jésus apporte n’est pas celle que le monde peut donner.
Elle n’est pas absence de difficulté, mais présence de Dieu dans la difficulté.
Elle n’est pas tranquillité extérieure, mais repos intérieur.
Elle n’est pas un concept, mais une Personne : Jésus lui-même.
Reconnaître « ce qui donne la paix », c’est reconnaître Jésus comme Seigneur, Sauveur, Frère, Consolateur.
C’est accueillir son regard, sa parole, son chemin.
2. Les larmes de Jésus : un appel à la conversion
Lorsque Jésus pleure, il nous montre que Dieu n’est pas indifférent à nos choix.
Il ne dit pas : « Tant pis pour eux ».
Il dit plutôt : « Pourquoi te détourner de la vie ? Pourquoi fuir la vraie paix ? »
Les larmes de Jésus sont un appel à revenir, à ouvrir les yeux, à accueillir Dieu aujourd’hui, maintenant, avant qu’il ne soit trop tard.
Parfois, nous aussi, nous manquons les visites de Dieu :
• une parole qui nous touche mais que nous repoussons,
• une personne que Dieu met sur notre route mais que nous ignorons,
• un appel intérieur que nous étouffons,
• une invitation à pardonner, à changer, à recommencer.
3. « Le moment où Dieu te visitait » : Dieu continue de venir
Ce passage n’est pas une histoire du passé.
C’est un miroir pour aujourd’hui.
Dieu nous visite chaque jour :
dans la prière,
dans la Parole,
dans les sacrements,
dans les pauvres,
dans les événements,
dans les inspirations intérieures,
dans les appels de notre vocation.
Reconnaissons-nous ses visites ?
Ou les ignorons-nous par peur, par routine, par distraction ou par dureté de cœur ?
✝️ *Prière* ✝️
Seigneur Jésus,
toi qui as pleuré sur Jérusalem,
viens pleurer aussi sur nos cœurs parfois fermés.
Adoucis ce qui est dur, ouvre ce qui est fermé, éclaire ce qui est obscur.
Donne-nous de reconnaître le moment où tu nous visites,
de ne pas laisser passer ta paix,
de t’accueillir comme Seigneur de notre vie.
Amen.
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