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Un prêtre de l’Archidiocèse d’Abidjan fait honneur au clergé ivoirien
L’Institut Pontifical de Musique Sacrée à Rome à inscrit dans ses livres un nom nouveau. C’est celui du Révérend Père Maxime Dogbo. Prêtre de l’Archidiocèse d’Abidjan, il a brillamment soutenu, le 22 octobre 2025, son Master en Musicologie.
Son mémoire, intitulé : « Un modèle d’organisation et de pratique du chant liturgique pour les chorales de l’Archidiocèse d’Abidjan », propose une réflexion ambitieuse sur la structuration et la qualité artistique des chorales paroissiales en Côte d’Ivoire.
Pour la beauté de la liturgie
Le Père Dogbo y analyse les défis musicaux et organisationnels auxquels font face les chœurs locaux, tout en présentant la chapelle musicale Sixtine, chœur du Vatican rattaché aux célébrations pontificales, comme modèle d’inspiration. « Il ne s’agit pas d’importer un style, mais de s’inspirer d’une méthode, d’une exigence au service de la beauté de la liturgie », a-t-il expliqué. Le jury, composé des professeurs Nicola Tangari, Silvano Presciutini et du Père Robert Mehlhart, recteur de l’Institut, a salué un travail « à la fois rigoureux et pastoralement fécond » .
Qui est le Père Maxime Dogbo ?
Ordonné prêtre le 14 janvier 2006, l’ancien professeur de latin et de musique au Petit Séminaire Saint Augustin de Bingerville, a su lier la spiritualité à l’éducation et à l’art. Auteur-compositeur , il est notamment connu pour son chant « Peuple de la Terre » et son premier album liturgique, « Tu es Petrus », un recueil composé de huit titres méditatifs.
Président de la Fraternité des prêtres, religieux et séminaristes ivoiriens à Rome, il incarne une figure de prêtre-artiste enraciné dans la foi et ouvert sur le monde. À travers cette soutenance, il rappelle que la musique liturgique n’est pas seulement un ornement, mais “une prière qui unit et élève les âmes” , fidèle à l’esprit du Concile Vatican II : “Que la musique sacrée élève le cœur vers Dieu.”
Avec ce diplôme prestigieux, le Père Dogbo rejoint la lignée des grands musiciens d’Église africains formés dans la Ville éternelle, mettant ainsi son expertise au service du chant sacré universel.
— Jean Oued —
Catholikia
Un prêtre de l’Archidiocèse d’Abidjan fait honneur au clergé ivoirien
L’Institut Pontifical de Musique Sacrée à Rome à inscrit dans ses livres un nom nouveau. C’est celui du Révérend Père Maxime Dogbo. Prêtre de l’Archidiocèse d’Abidjan, il a brillamment soutenu, le 22 octobre 2025, son Master en Musicologie.
Son mémoire, intitulé : « Un modèle d’organisation et de pratique du chant liturgique pour les chorales de l’Archidiocèse d’Abidjan », propose une réflexion ambitieuse sur la structuration et la qualité artistique des chorales paroissiales en Côte d’Ivoire.
Pour la beauté de la liturgie
Le Père Dogbo y analyse les défis musicaux et organisationnels auxquels font face les chœurs locaux, tout en présentant la chapelle musicale Sixtine, chœur du Vatican rattaché aux célébrations pontificales, comme modèle d’inspiration. « Il ne s’agit pas d’importer un style, mais de s’inspirer d’une méthode, d’une exigence au service de la beauté de la liturgie », a-t-il expliqué. Le jury, composé des professeurs Nicola Tangari, Silvano Presciutini et du Père Robert Mehlhart, recteur de l’Institut, a salué un travail « à la fois rigoureux et pastoralement fécond » .
Qui est le Père Maxime Dogbo ?
Ordonné prêtre le 14 janvier 2006, l’ancien professeur de latin et de musique au Petit Séminaire Saint Augustin de Bingerville, a su lier la spiritualité à l’éducation et à l’art. Auteur-compositeur , il est notamment connu pour son chant « Peuple de la Terre » et son premier album liturgique, « Tu es Petrus », un recueil composé de huit titres méditatifs.
Président de la Fraternité des prêtres, religieux et séminaristes ivoiriens à Rome, il incarne une figure de prêtre-artiste enraciné dans la foi et ouvert sur le monde. À travers cette soutenance, il rappelle que la musique liturgique n’est pas seulement un ornement, mais “une prière qui unit et élève les âmes” , fidèle à l’esprit du Concile Vatican II : “Que la musique sacrée élève le cœur vers Dieu.”
Avec ce diplôme prestigieux, le Père Dogbo rejoint la lignée des grands musiciens d’Église africains formés dans la Ville éternelle, mettant ainsi son expertise au service du chant sacré universel.
— Jean Oued —
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